Gevarenwinkel #22
(Français) Blues & Roots Festival (2) Varenwinkel (23-08-19) reporter & photo credits: Freddie info organisatie: Gevarenwinkel info bands: Alain Pire Expirience (B) - CC Jerome (NL) - Jon Cleary & The Monster Gentlemen (US) info bands: Georgina Peach & The Savoys (NL) - DeWolff (NL) © Rootsville 2019 |
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"Vendredi soir" est non seulement le succès de Mieke, Micha Marah, Dennie Christian et Freddy Breck, mais également le lancement officiel de "Gevarenwinkel". Ce soir, nous avons mis cinq groupes sur l’affiche, mais peut-être pourrions-nous aussi en mettre quatre car avec CC Jerome, on ne sait jamais. Le coup d'envoi est donné par nos amis Wallons de "Alain Pire Expierence", et avant cela, Ronnie a déjà travaillé avec les coudes. Pas celui des Ronnies et leur succès mondiale "Beestjes" à partir en 1967, mais un résident chevronné et également un membre de l'équipe de travail ici à Varenwinkel.
C’est ensuite au tour de "CC Jérôme", même s’il sera sans doute aussi à voir avec Georgina Peach. Venu tout droit de la Nouvelle-Orléans, nul autre que "Jon Cleary" sera en mesure de créer l'ambiance NOLA nécessaire. Suivant une bonne dose Rhythm & Blues alternative avec Georgina Peach & The Savoys et ... 'le' Jerome, pour conclure avec leurs compatriotes de "DeWolff".
S'il n'y a que des fans chevronnés ici à Varenwinkel dans cette "Alain Pire Experience", nous nous retrouverons ici le duo Ron et Vic. Tous les deux traversaient régulièrement la frontière linguistique pour voir ce trio à l'oeuvre, ce qui, avec les bals de Liège, a amené Alain et ses partisans dans la banlieue de Herselt. Donc, le 13 décembre, nous sommes allés au "Pallieter Café" de Hans où Alain, le batteur Marcus Meymare et le bassiste René Stock sont venus nous surprendre avec une dose de véritable sixties rock à la pointe psychédélique. Plus tôt cette année, Alain Pire a publié son dernier album "Apex". Complètement dans le flux de Woodstock, Alain Pire et son Expérience se terminent également par des situations Hendrixiennes. L’ouverture de cette soirée est également l’ouverture de leur nouvel album et avec «I Saw The Light Today», beaucoup pourraient renifler les sixties nostalgiques et psychédéliques. "Lazy" vient d'un album précédent, mais avec "Never Go Your Way", nous sommes de retour au travail le plus récent. Immédiatement un solide ouvre le vendredi. "Number One" est leur dernier exploit ici ce soir et c'est ce qu'ils ressentent. Non seulement les fans de Wallonie pour cette "Expérience Alain Pire", mais aussi celle de Varenwinkel.
Le suivant sur l'affiche est "CC Jérôme" et pour cela, vous devez vous rendre à la petite tente. Avec Jerome van Gasteren, vous ne savez pas à l’avance avec quel line-up il vient. Nous n'entendons encore que très peu parler des "Jetsetters" et ce rendez-vous était peut-être un "accord global" avec Georgina "Peach". Sans aucun doute, le rock 'n roll sera désormais sous contrôle. Soudain deux de nos compatriotes apparaissent dans la formation avec les tambours de Bettes alias Robert Theys et son compagnon de Catsmokes, le bassiste de Jakke. Il n'y avait aucune nouvelle de CC Jérôme, alors ils ont commencé sans lui.
Heureusement, le claviériste était à l'aise et il a mis la tente en mouvement avec des chansons comme "Red Hot Mama" et ‘I’m Ready’. Soudain, CC Jerome s'est pointé, et la fête a pu continuer avec un rock n Roll sentimental avec des chansons comme "Little Sister" le classique de tous les temps de "The Blasters" ... “Marie Marie”.
Nous attendions déjà avec impatience "Jon Cleary & The Monster Gentlemen". L'année dernière, il était toujours dans le pays et, en 2017, il avait encore signé "Blues Peer". NOLA est toujours au rendez-vous et c'est aussi ce Jon Cleary qui a encore marqué l'année dernière avec l'album "Dyna-Mite". Donc, sans plus tarder, nous vous donnons tout droit du "Big Easy", Jon Cleary et The Monster Gentlemen.
Avec le titre "Dynamite" de son dernier album, il a immédiatement mis le feu à la poudre et nous étions prêts pour une soirée funky au plus haut niveau de NOLA. C'est devenu un fiesta où tout le monde se sentait dans le quartier Français. Des chansons comme "So Damn Good" et "Go Go Juice" ont permis de créer un ensemble incroyable. Tout a été sorti du placard par Jon Cleary et les anciennes go-go girls du Borderline, se sont trouvée en extase. Cela devint encore plus impressionnant quand Jon arriva de derrière les claviers et, avec sa guitare prête, mit presque toute la tente dans un delrium. "Boneyard" et "21st Century" l'ont également rapproché au fil du temps ... mais on s'en fout!
J'ai déjà vu Georgina Peach l'an dernier au "Sjock", c’était "Georgina Peach & The Originators". À peine un an plus tard, ils s'appellent "Georgina Peach & The Savoys", ça peut aller vite dans le showbiz parce que Georgina est passée de barre d'offre à une diva émergente en peu de temps. La bonne chose est que cette année, ils ont également sorti leur premier album "I'm On My Way", un mélange de soul, rhythm & blues et gospel.
Tout un changement dans le paysage musical de ces "Georgina Peach & The Savoys" et tout un sandwich pour un profane qui sait maintenant qui est qui. Ce qui restait encore ferme, c’était le merveilleux rythme du blues mis dans une veste soul. Après des chansons comme "I Know" comme nous le connaissons de la période du pop-corn de Betty Everett et du soulfloorfiller "What A Man" chanté par Lynda Lyndell en 1968 et qui devint plus tard un succès en 1993 avec "Salt 'n Pepper "nous sommes bientôt tombés sur le piège" I’d Rather Go Blind" d'Etta James. Avec "Perfidia", nous avons reçu une dose de son caribéen et nous étions complètement en mode congé. Super à écouter, cependant. "Money" est devenu l'une des dernières déclarations ici sur la plus petite scène et il reste maintenant la question voir si Jérôme reviendra à la maison à temps.
C’est un statement de dire due Bruno est fan du Southern rock car demain nous aurons à nouveau "Robert Jon & The Wreck". Ce soir, la soirée de clôture n’est autre que "DeWolff". Nous avons rencontré ce "DeWolff" dans la première décennie de ce siècle. Maintenant, les jeunes de cette époque sont pleinement développés depuis un certain temps et constituent une machine bien huilée. Leur album "Live & Outta Sight II" succédant à leur "Thrust", sorti l'année dernière, est en vente depuis quelques mois et se porte très bien. Le groupe se compose des frères Pablo et Luka van de Poel et au Hammond Robin Piso, des bouchons d'oreilles à portée de main et prêts à basculer!
Aux premiers sonorités de "Nothings Changing", il s’agissait bien d’un autre type de mélomanes qui avaient pris les premières places. Mes souvenirs remontaient à l'époque où ils étaient jeunes et, honnêtement, par rapport au visiteur moyen, ils sont restés des jeunes ici. Forte performance avec parfois un clin d'œil au rock tel que nous le connaissions. Des chansons comme "Sugar Moon" et "Share To Ride" ont été entendues avec une extrême facilité et nous avons constaté que ces "Dewolff" avaient des fans de tous les âges.
Avec "Deciet and Who", leur concert réussi a pris fin et certains se dirigeaient déjà vers "T Schuurke" pour une fête avec "Sudden Lee". D'autres ont ensuite choisi la route sans danger vers Tielt et ses environs. pour une partie d’après-parti à vous lécher les doigts.